D’autres ne sont pas très nettes car il s’agit de photos faites à partir d’un livre,livre que je parcours assez souvent car j’y retrouve exactement ce qui me fait frissonner quand je suis à New York… le chaos, le bruit et en même temps une certaine chaleur humaine et insouciance ou carrément la violence de la rue.
» A bord du bateau qui me ramène, je vois sortir Manhattan du brouillard ….
Tous les clichés d’un début de film, je m’attends à entendre la musique ‘Arrivée dans la métropole’ qui va avec.
J’ai l’impression d’être un ballon de défilé publicitaire qui tombe du ciel après avoir parcouru des millions d’orbites.
Je reconnais la ville mais je la vois autrement… Je suis dans une espèce de transe.
Mais j’ai la possibilité de transcrire ce que je ressens.
Je dispose d’un appareil photo même si je sais à peine m’en servir’.
William Klein ( Préface New York 1954-55)






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