Drive de Nicolas Winding Refn

Drive Nicolas Winding Refn



Depuis Dimanche soir, je donne dans la catégorie Rediffusionet Beaux Gosses, entre Russel Crowe et Guy Pearce dans L.A. Confidential et Brad Pitt et Jason Patric dans Sleepers , sans oublier Michael Fassbender   qui me trotte dans la tête depuis quelques temps.
Bref, j’ai remis cela Lundi soir…

Initialement, je devais aller au cinéma voir Le Loup de Wall Street et puis in extremis je découvre que Ciné+  a programmé Drive de Nicolas Winding Refn.

Le beau Ryan Gosling + la mutine Carey Mulligan + le génialissime Nicolas Winding Refn et la musique de Kavinsky  = c’est le petit écran qui gagne !

J’avais déjà vu ce film, un peu par hasard, pour combler quelques heures avant de prendre un Paris-New York.
J’avais peut être la tête un peu ailleurs, déjà à mon voyage,  et j’avoue avoir bien plus apprécié la seconde fois.

Drive est avant tout un film profondément humain et cela même si le personnage principal semble muré dans son univers intérieur.
Le film se concentre sur ce personnage pour en extirper toute l’humanité, toutes ses contradictions intérieures et psychologiques qui l’empêchent de s’épanouir pleinement, toute l’ambiguïté permanente dont il fait preuve dans son attitude et son existence.
C’est l’histoire d’un homme, Ryan Gosling, cascadeur de jour et chauffeur pour des organisations criminelles la nuit.

C’est l’histoire de sa rencontre avec une femme, Carey Mulligan,  qui va le changer, pour qui il va essayer de donner une vie meilleure.
Au risque de tout perdre et de se perdre lui-même.

Le film entier est traversé par une tension palpable, les séquences s’enchaînent comme des promesses d’explosions et en même temps tout est maitrisé.
Film noir par excellence où la mécanique broie ses proies, Drive ne laisse que peu de chances à ses personnages et offre un portrait amer et désabusé du monde.
Ryan Gosling y démontre son talent et Carey Mulligan confirme tout le bien que l’on pense de son jeu.

A voir absolument si l’occasion se présente… 


Drive Nicolas Winding Refn

Drive Nicolas Winding Refn

Pitch : Un jeune homme solitaire, « The Driver », conduit le jour à Hollywood pour le cinéma en tant que cascadeur et la nuit pour des truands. Ultra professionnel et peu bavard, il a son propre code de conduite.
Jamais il n’a pris part aux crimes de ses employeurs autrement qu’en conduisant – et au volant, il est le meilleur !
Shannon, le manager qui lui décroche tous ses contrats, propose à Bernie Rose, un malfrat notoire, d’investir dans un véhicule pour que son poulain puisse affronter les circuits de stock-car professionnels.
Celui-ci accepte mais impose son associé, Nino, dans le projet.
C’est alors que la route du pilote croise celle d’Irene et de son jeune fils.
Pour la première fois de sa vie, il n’est plus seul.
Lorsque le mari d’Irène sort de prison et se retrouve enrôlé de force dans un braquage pour s’acquitter d’une dette, il décide pourtant de lui venir en aide. L’expédition tourne mal…
Doublé par ses commanditaires, et obsédé par les risques qui pèsent sur Irène, il n’a dès lors pas d’autre alternative que de les traquer un à un…

Publié par

Isa

Blog LifeStyle & Photographie ...Street Art, voyage,culture et Bordeaux en toile de fond.

16 réflexions au sujet de « Drive de Nicolas Winding Refn »

  1. J'ai beaucoup aimé ce film : le calme de l'acteur, sa gestuelle, sa relation avec sa voisine, l'intrigue, tout! Mais par la suite, j'ai eu l'impression que Ryan Goslin s'enfermait dans ce type de rôle et qu'il n'avait pas réussi à s'extirper de son rôle dans Drive.

  2. Donc je suis la seule à ne pas aimer ce film!
    J'adore Ryan Gosling mais pas dans ce film-là!
    Ce film est trop dur et ne m'a rien apporté.
    J'ai vu « Only god forgives » du même réalisateur et je n'ai pas aimé non plus.
    C'est ce réalisateur que je n'aime pas, je crois!

  3. Ce film nous avait enthousiasmées lors de sa sortie, malgré la violence. Ryan Gosling et Carrey Mulligan très touchants, le scénario, la musique, le suspense, tout y est ! Nous avons par contre détesté « Only god forgives » , pourtant du même réalisateur et avec le même beau gosse Ryan…

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