Une ambiance bien potache y régnait et chacun semblait content d’avoir réussie à obtenir une place…
Disons le de suite, j’ai adoré… du pur Tarantino, surement un de ses meilleurs films, avec comme d’habitude un grand final explosif et des acteurs grand cru.
Sa cause justifie les moyens et trouve une adhésion presque sans équivoque malgré le sujet extrêmement sensible auquel le film s’attaque.
Son interprétation de l’aristocrate dandy à la passion morbide pour le combat d’esclaves jusqu’à la mort est à glacer le sang, passant sans sourciller du sourire sympathique à la folie la plus totale.
Les dialogues, comme toujours, sont à l’honneur et les
acteurs prennent plaisir à jongler avec les mots : « Gentlemen, you had my curiosity. But now you have my attention. »Des scènes cultes comme celle complètement burlesque mais sacrement réussie des prémices du Klu Klux Khan, cela faisait bien longtemps que je n’avais pas eu un tel fou rire dans une salle de cinéma…
Enfin, parlons de la BO, Tarantino mélange des titres mythiques avec de la compo originale et finalement cela passe très bien , pas de souci avec le gros rap US en plein Mississippi du 19 ème siècle.
C’est une des raisons pour laquelle Tarantino est Tarantino.
Aucun interdit, il se fout des « règles ».
Et c’est ainsi qu’on l’aime.
Lorsque Django et Schultz arrivent dans l’immense plantation du puissant Calvin Candie, ils éveillent les soupçons de Stephen, un esclave qui sert Candie et a toute sa confiance. Le moindre de leurs mouvements est désormais épié par une dangereuse organisation de plus en plus proche… Si Django et Schultz veulent espérer s’enfuir avec Broomhilda, ils vont devoir choisir entre l’indépendance et la solidarité, entre le sacrifice et la survie…




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